Vacances de Toussaint 1990, je viens finir l'armée et nous voilà partis pour le Portugal afin de ramener la cox de mes rêves !
Pour l'aller, nous sommes partis à 4 en voiture de la région centre, direction un petit village à 40 km de Porto et nous décidions de la ramener par la route !!!!
Le 30 octobre 1991 départ de Meneido à 4 heures du matin, pour la grande expédition ....Voiture moderne suiveuse avec la smala et ma futur femme avec moi dans la cox !
Une cinquantaine de bornes plus loin, la VW n'avait jamais parcouru autant de kilomètres d'un coup, elle sentait fort le moteur chaud ! Je décide de tirer sur les manettes situées autour du frein à main : c'était pire ...
On roulait donc à partir de ce moment avec les fenêtres ouvertes !!!
Dans les rond-point, les pneus crissaient (vue les galettes de taille d'origine en guise de pneus), pas étonnant !
Arrêt minimum toutes les 1h30 à 2 heures pour le plein ou pour mieux respirer !
j'ouvrais le capot arrière à chaque pause pour ventiler un peu ...
Passage de la frontière Portugal/Espagne assez rapide étant partis du nord du pays.
Ensuite beaucoup de poses et le trajet fût super long pour la traversée de l'Espagne .
Arrivée au passage des Pyrénées, côté Espagnol, nous avons grimpé tout doucement les dizaines de côtes importantes allant jusqu'à doubler des voitures récentes en panne sur le bord de la route :
youpi !!! Mais de gros coup de freins dans les descentes, là aussi, cela sentait le chaud !
Arrivée en France au pays Basque quel soulagement ! Le stress de tomber en panne, la voiture super confortable ! MDR . J'étais super fatigué ... Coup de mou énorme, ma femme venait d' avoir son permis et ne voulait pas conduire (je comprends).
Avant Bordeaux c'est l'oncle qui a pris le volant : Eh bien il a pas été déçu du voyage ! Je me suis écroulé de fatigue sur la banquette arrière pendant 2 petites heures et ma femme m'a raconté qu'elle l' a cru mourir à plusieurs reprises car le tonton ne connaissait l'engin et il roulait très à gauche et les camions doublaient en klaxonnant !
J'ai repris le volant vers Angoulême jusqu'à Tours où nous résidions à l'époque ...
Pas une avarie, beaucoup de stress et de peur, les poumons bien pollués et les oreilles abruties
! Mais enfin arrivés à bon port ...
Avec une moyenne de 60 km/h et une consommation de 8 litres au 100 avec ce petit 1200 qui a bien tenu le choc de sa vie sur 1350 kms en 23 heures ! ! !
Pour l'aller, nous sommes partis à 4 en voiture de la région centre, direction un petit village à 40 km de Porto et nous décidions de la ramener par la route !!!!
Le 30 octobre 1991 départ de Meneido à 4 heures du matin, pour la grande expédition ....Voiture moderne suiveuse avec la smala et ma futur femme avec moi dans la cox !
Une cinquantaine de bornes plus loin, la VW n'avait jamais parcouru autant de kilomètres d'un coup, elle sentait fort le moteur chaud ! Je décide de tirer sur les manettes situées autour du frein à main : c'était pire ...
On roulait donc à partir de ce moment avec les fenêtres ouvertes !!!
Dans les rond-point, les pneus crissaient (vue les galettes de taille d'origine en guise de pneus), pas étonnant !
Arrêt minimum toutes les 1h30 à 2 heures pour le plein ou pour mieux respirer !
j'ouvrais le capot arrière à chaque pause pour ventiler un peu ...
Passage de la frontière Portugal/Espagne assez rapide étant partis du nord du pays.
Ensuite beaucoup de poses et le trajet fût super long pour la traversée de l'Espagne .
Arrivée au passage des Pyrénées, côté Espagnol, nous avons grimpé tout doucement les dizaines de côtes importantes allant jusqu'à doubler des voitures récentes en panne sur le bord de la route :
youpi !!! Mais de gros coup de freins dans les descentes, là aussi, cela sentait le chaud !
Arrivée en France au pays Basque quel soulagement ! Le stress de tomber en panne, la voiture super confortable ! MDR . J'étais super fatigué ... Coup de mou énorme, ma femme venait d' avoir son permis et ne voulait pas conduire (je comprends).
Avant Bordeaux c'est l'oncle qui a pris le volant : Eh bien il a pas été déçu du voyage ! Je me suis écroulé de fatigue sur la banquette arrière pendant 2 petites heures et ma femme m'a raconté qu'elle l' a cru mourir à plusieurs reprises car le tonton ne connaissait l'engin et il roulait très à gauche et les camions doublaient en klaxonnant !
J'ai repris le volant vers Angoulême jusqu'à Tours où nous résidions à l'époque ...
Pas une avarie, beaucoup de stress et de peur, les poumons bien pollués et les oreilles abruties
! Mais enfin arrivés à bon port ...
Avec une moyenne de 60 km/h et une consommation de 8 litres au 100 avec ce petit 1200 qui a bien tenu le choc de sa vie sur 1350 kms en 23 heures ! ! !